Dans
les publications qui ont défini la théorie relationnelle,
les tables étaient appelées relations, les rangées
se nommaient uplets ou nuplets (ou «tuples» en
anglais) alors que les colonnes étaient appelées attributs.
Ces expressions tirent leurs origines des mathématiques et sont
rarement utilisées de nos jours hors des milieux universitaires.
C'est de là que vient l'expression «base de données
relationnelle».